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Et si le stress commençait avant même d’avoir posé un pied à l’aéroport ? Un nombre croissant de Français vivent une angoisse particulière au moment de planifier leurs vacances. Ce phénomène a désormais un nom : le Wanderlost.
54 % des Français rêvent de s’évader dès janvier, mais 82 % se sentent paralysés par la complexité de l’organisation. Trop d’offres, trop d’attentes, pas assez de budget… Résultat : certains préfèrent tout annuler.
Le cœur du problème ? Une surcharge mentale. Trouver un vol pas trop cher, réserver un logement sympa, organiser les activités… Et le tout, souvent, sur les épaules d’une seule personne.
Alina, 24 ans, voulait partir en Italie, mais a renoncé face aux prix. Mélissa, 33 ans, parle d’un temps fou
passé à tout comparer. Et Marco, 45 ans, repousse toujours son rêve de Nouvelle-Zélande : trop compliqué, trop cher, trop loin.
La pression de réussir des vacances parfaites, souvent alimentée par les réseaux sociaux, empire les choses. Il faut que ce soit beau, bien organisé, instagrammable… et surtout, sans accroc.
La solution ? Relâcher la pression
Accepter qu’un voyage ne soit pas parfait. Mieux répartir les tâches. Utiliser des applis comme Grazie Gigi qui proposent des plans sur mesure. Ou tout simplement laisser une agence s’en occuper.
Clarisse, elle, a failli tout abandonner en organisant un week-end pour ses 25 ans avec 15 amis. Finalement ? Un tableau partagé, un bon suivi sur WhatsApp, et surtout : des gens de confiance. Comme quoi, le meilleur plan reste souvent celui qu’on vit avec les bonnes personnes.