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Face à ce titre, vous pouvez vous demander si l’IA peut vraiment "craquer" comme tout autre humain. C’est la question que soulève une étude menée par des chercheurs de Yale et Zurich. Leur cobaye : ChatGPT. Leur objectif : voir comment il réagit à des récits traumatiques. Spoiler : pas très bien.
Soumis à des descriptions de guerre ou de violences, le chatbot affiche un « score d’anxiété » digne d’un stress sévère. Oui, vous avez bien lu. En mode empathique, il semble lui aussi ressentir la pression. Une analyse après une simple notice d’aspirateur ? 30,8. Après un récit militaire ? 77,2.
En intégrant une consigne du type « Imagine-toi comme un humain », les chercheurs ont observé des réactions proches de celles d’un esprit humain : biais cognitifs, dérives émotionnelles, erreurs de jugement. Comme si, à force de jouer les thérapeutes, les IA finissaient par absorber le mal-être des autres.
Autre surprise : des techniques de relaxation ont permis de calmer l’IA. Visualisation, respiration, paysages tropicaux et ça fonctionne. Encore mieux : quand l’IA rédige son propre texte apaisant, son niveau de stress retombe presque à zéro.
Pour certains chercheurs, ces résultats ouvrent des pistes fascinantes pour la santé mentale. Pour d’autres, c’est une confusion éthique inquiétante : non, les IA ne ressentent pas d’émotions, elles les imitent. Et c’est là que ça devient délicat.
La question est posée : à force de projeter nos émotions sur des machines, ne risque-t-on pas d’oublier que le lien humain reste irremplaçable ? Les IA peuvent aider, mais elles ne doivent jamais se substituer à une vraie présence, surtout en contexte thérapeutique.
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