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Depuis la réforme de 2021, le bac a été remodelé : moins d’épreuves, un taux de réussite record, mais aussi une nouvelle pression. Trois femmes, de 17, 50 et 71 ans, racontent comment l’examen s’est transformé en enfer ou en simple formalité selon les générations.
Mireille a passé son bac G en 1973, alors que seuls 20 % des jeunes l’obtenaient. « C’était un stress abominable », confie-t-elle, isolée dans une génération où le diplôme définissait tout. Pas de contrôle continu, pas de seconde chance : l’épreuve finale valait tout. Dès l’annonce des résultats, elle a commencé à travailler, jugée « surqualifiée » pour un simple poste administratif.
En 1994, plus de la moitié des adultes bacheliers, Emma se souvient des oraux interminables. « Le bac seul, ça ne suffisait plus », explique-t-elle. Il fallait un BTS pour décrocher un premier emploi. Les portes des universités s’ouvraient, certes, mais il fallait déjà choisir sa voie dès le lycée.
Pour Chiara, le bac est une formalité. C’est Parcoursup qui fait trembler les élèves : vœux à formuler en quelques jours, écoles qui font patienter des semaines. « Aujourd’hui, on pleure pour Parcoursup, pas pour le bac », résume-t-elle. La génération Z subit une pression différente, davantage liée aux choix d’orientation qu’à l’examen lui-même.
Trois générations, trois visions du bac : de l’épreuve de la vie à un simple ticket d’entrée, jusqu’au stress numérique de Parcoursup. Et vous ? Quel est votre pire souvenir d’examen ?
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