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Quand on n’en peut plus, que le stress déborde et que le burn-out guette, il faut parfois décrocher. Pas fuir. Juste ralentir. Et si la solution venait du vivant ? À Maisons-Laffitte, Christine Parrot, fondatrice de l’association NaturAnimal, aide les esprits surchargés à retrouver un peu de paix, grâce à la nature, aux animaux et à des gestes simples qu’on a oubliés.
« Quand on tient une poule dans les bras, on ne pense plus à rien. » Ce que Christine décrit, c’est une bascule. Un recentrage. Le contact sensoriel avec l’animal interrompt le flot des pensées obsédantes. Le rythme cardiaque ralentit. Et le cerveau, lui, respire.
Respirer l’odeur d’un arbre, sentir une fleur, regarder le vent dans les feuilles… Ces gestes simples nous ramènent ici et maintenant. C’est une immersion sensorielle, presque méditative, qui coupe court aux ruminations.
Christine utilise aussi un outil de PNL :
C’est subtil, mais ce simple “et si…” permet de sortir de la boucle et d’imaginer un autre possible.
Prendre soin d’une plante, toucher la terre, couper une tige. Dans l’approche NaturAnimal, ce n’est pas qu’un loisir. C’est une façon douce de se reconnecter. À soi. À l’instant. Et au vivant. Christine le dit avec justesse : « C’est du bien-être pour la plante, mais surtout pour nous. »
Pas besoin de tout plaquer ou de s’isoler en pleine montagne. Il suffit parfois d’un animal, d’un arbre, d’un moment de silence en nature pour que le corps, lui, commence à lâcher. Pas pour “guérir”. Mais pour reprendre pied.
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