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Et si on pouvait sauver une vie non pas avec un massage cardiaque, mais avec les bons mots ? Dans le sud-est toulousain, un programme inédit veut former une centaine de « secouristes en santé mentale » d’ici 2026.
Une urgence silencieuse
Crises d’angoisse, isolement, troubles psychiques : face à ces situations, beaucoup restent démunis. « On ne sait pas toujours quoi dire, quoi faire », explique Concepcion Sichi, coordinatrice du Contrat local de santé.
Une formation qui change tout
Formée à Paris aux premiers secours en santé mentale, elle transmet désormais son savoir aux élus, aux associations d’aide à domicile, aux agents sociaux et bientôt aux enseignants. Chaque session est prise d’assaut, affichant complet en quelques jours.
L’objectif : briser le tabou
Donner les bons réflexes, éviter la stigmatisation, agir sans juger : voilà la mission de ces futurs secouristes. Dans les mois à venir, ce réseau local pourrait devenir un modèle pour d’autres territoires en France.