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C’est irrationnel. Tu as encore 30 % de batterie, mais tu te mets à stresser comme si ton portable allait rendre l’âme dans la minute. Tu demandes un chargeur à la première personne croisée. Et tu scrutes la jauge comme si ta vie en dépendait. Ce sentiment porte un nom : l’anxiété de batterie faible. Et il en dit long sur notre rapport au téléphone.
Une étude menée auprès de 2 000 personnes montre qu’en dessous de 38 %, le stress commence à monter. Plus fou encore : pour 9 personnes sur 10, c’est la panique dès que la batterie descend sous 20 %.
C’est notre cerveau qui surinterprète. Le téléphone n’est plus juste un outil : il concentre nos repères, nos contacts, nos applis, notre vie numérique. Alors quand il menace de s’éteindre, on a l’impression de perdre le contrôle. En neurosciences, on parle même de nomophobie, l’angoisse de se retrouver sans smartphone.
Résultat : on imagine des scénarios catastrophes ("je ne pourrai plus prévenir", "je vais me perdre", "je vais rater un message ultra important"), et le stress grimpe… alors qu’objectivement, tout va bien.
Si voir son pourcentage de batterie chuter vous donne des sueurs froides, il est peut-être temps de faire une pause. Désactiver les notifications, fixer des temps d’écran, voire se lancer dans une mini détox digitale peuvent vraiment aider. Et si l’angoisse persiste, on n’hésite pas à en parler à un pro.
Parce que non, ce n’est pas “juste un téléphone”. Et c’est justement pour ça qu’on a intérêt à reprendre un peu de distance.
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