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Lorsqu’on est à sa première année de fac, on a tendance à penser que les travaux de groupe seraient une simple formalité. D’ailleurs, on les présente comme une belle occasion d’échanger, d’apprendre à plusieurs et de bosser dans la bonne humeur. Spoiler : pour beaucoup d’étudiants, c’est tout l’inverse. Crises d’angoisse, injustice, ghosting et mauvaise ambiance… Bienvenue dans l’envers du décor.
Marc en a encore des sueurs froides. Son semestre a été rythmé par un dossier collectif ultra exigeant… sauf que son groupe a décidé de faire cavalier seul. Son travail ? Jeté à la poubelle. Sa voix ? Ignorée. Sa note ? Sabordée. Il a dû écrire au prof pour récupérer un point, pendant que le « chef » du groupe, lui, en perdait deux.
Tu l’as sûrement déjà croisé : l’étudiant qui ne fait rien mais prend les félicitations, celui qui fait tout sans en parler à personne, ou encore celui qui ghoste en plein week-end de rendu. Lili, elle, a dû tout anticiper seule parce que personne ne répondait. Résultat ? Stress, frustration, et l’impression de travailler avec des hologrammes.
Lola, en psycho, a dû courir après ses camarades pour obtenir les dernières parties du devoir. Certains ne répondaient même plus aux messages. Motivation variable, communication zéro. Et c’est toujours à ceux qui s’investissent que ça coûte le plus en énergie mentale.
Mathieu ou Aurore racontent une autre réalité : celle du malaise social. Se sentir de trop, ne pas oser prendre sa place dans un groupe déjà formé, avoir l’impression de déranger… C’est aussi ça, la souffrance silencieuse des travaux de groupe. Et ça flingue l’estime de soi sur le long terme.
Le plus dur ? C’est que, souvent, la note est la même pour tout le monde. Même pour celui ou celle qui n’a rien fait. Injuste ? Oui. Usant ? Aussi. Et pourtant, dans certaines filières, ce genre d’exercice est incontournable.
Certains enseignants y voient une préparation au travail d’équipe, incontournable dans la vie pro. Mais faut-il vraiment passer par l’angoisse et le chaos pour apprendre à collaborer ? Peut-être qu’enseigner comment travailler en groupe devrait venir avant de le demander.
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