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Dans un petit coin du Maine-et-Loire, elles sont une quinzaine à se retrouver tous les quinze jours. Ni cours, ni compétition, juste des aiguilles, des pelotes, et beaucoup de papotage. Bienvenue au tricot'papote du centre social Val'Mauges, à La Pommeraye.
Un moment à soi, mais ensemble
Tout est parti d'une idée simple. Tiphaine a constaté que beaucoup tricotaient dans leur coin. Alors elle a proposé de se retrouver. Depuis, c'est devenu un rituel : on vient avec son ouvrage, son envie de discuter et on décompresse. "C'est un anti-stress, le tricot nous rend zen", confie Chantal. Et visiblement, elle n'est pas la seule à ressentir cet apaisement.
Des créations qui font du bien
Sur la table, des chaussettes aux couleurs vives, un pull en mohair, un cocon de naissance... Chaque pièce est unique. Mais plus que le résultat, c'est le geste qui compte. On partage les techniques, on s'entraide, on apprend. "Moi j'ai toujours un tricot dans mon sac", lance Agnès. Pour certaines, c'est presque une addiction. Une douce obsession.
Un club ouvert à tous, mais vraiment tous
Et si le tricot sortait enfin de son image ringarde ou trop féminine ? Ces passionnées en sont convaincues : cette activité mérite d'être connue des jeunes, des hommes, des débutants. Car ici, il n'y a ni niveau requis ni jugement. Juste le plaisir simple de créer avec ses mains, ensemble, sans pression.
Tricoter pour aller mieux ?
Dans un monde où tout va trop vite, s'arrêter pour faire quelques mailles devient un acte presque militant. Et si c'était ça, le vrai luxe ? Du temps pour soi, du lien avec les autres, et un pull fait maison en prime. Elles, en tout cas, ont trouvé leur remède au stress. Et vous ?