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Un rapport choc vient de mettre en lumière une réalité inquiétante. En France, de plus en plus d’enfants et d’adolescents sont soignés avec des médicaments puissants, parfois sans suivi adapté. Publié par le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA), ce document révèle que la consommation de psychotropes chez les 6-17 ans a doublé en dix ans.
Selon les chiffres, entre 2010 et 2022, la prescription de ces traitements a explosé :
En clair, un enfant sur 20 est aujourd’hui concerné. Ces médicaments, puissants modificateurs de l’humeur et du comportement, sont souvent prescrits sans qu’ils soient spécifiquement adaptés aux jeunes, faute de traitements autorisés sur le marché pour cette tranche d’âge.
Si les symptômes sont traités, la racine du mal, elle, reste souvent intacte : pression scolaire, surcharge d’écrans, stress lié aux réseaux sociaux, inquiétudes face au climat… autant de facteurs qui fragilisent la santé mentale des plus jeunes.
Sylviane Giampino, présidente du Conseil de l’enfance et de l’adolescence, alerte : « Nous ne remettons pas en cause l’utilité des médicaments, mais il faut rééquilibrer les approches et développer d’autres formes de soutien. »
Pour de nombreux spécialistes, cette médicalisation massive est une réponse rapide à un problème complexe. Mais les effets secondaires, eux, peuvent être lourds, surtout sur des cerveaux en développement. Le manque de places en pédopsychiatrie, avec parfois jusqu’à 18 mois d’attente pour un rendez-vous, pousse à cette sur-prescription, qui peut entraîner une aggravation de l’état de santé, voire une augmentation des passages à l’acte suicidaires chez les jeunes.
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