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Cette habitude parentale nuit à la santé mentale des enfants

Cette habitude parentale nuit à la santé mentale des enfants

Publié le August 06, 2025

Et si une simple décision, prise par amour ou par habitude, faisait plus de mal que de bien ? C’est la question qui dérange de plus en plus de parents aujourd’hui. Offrir un smartphone à son enfant semble banal. Presque nécessaire. Mais selon une nouvelle étude internationale, ce geste serait en réalité lourd de conséquences sur le long terme.

Les chiffres sont glaçants

Plus de 100 000 jeunes adultes ont participé à une enquête publiée dans le Journal of Human Development and Capabilities. Résultat ? Ceux à qui l’on a donné un smartphone trop tôt présentent davantage de troubles du sommeil, d’anxiété, de repli sur soi... Certains parlent même d’hallucinations ou de pensées suicidaires.

Pourquoi ça inquiète autant ?

Parce que le smartphone n’est pas qu’un outil. C’est une porte ouverte sur des contenus non filtrés, des comparaisons toxiques et une hyperstimulation constante. Quand il est introduit trop tôt dans la vie d’un enfant, il peut perturber gravement son développement émotionnel.

À quel âge, alors ?

Selon Tara Thiagarajan, neuroscientifique et auteure de l’étude, il vaudrait mieux attendre au moins 14 ans. Et surtout : encadrer strictement l’utilisation des écrans, notamment les réseaux sociaux.

Le plus alarmant ?

Cette habitude est souvent perçue comme un acte de protection. Mais elle pourrait, en réalité, abîmer profondément l’estime de soi des enfants, les exposer à une anxiété constante et créer des blessures invisibles qui réapparaîtront plus tard.

Ce qu’il faut retenir : Avant de céder à la pression sociale ou au réflexe de « faire comme tout le monde », il vaut la peine de se poser une vraie question : est-ce que ce choix aide vraiment mon enfant à grandir en sécurité et en confiance ?

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Ayoub Zero

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Plume plutôt posée qu’angoissée, s’intéresse à la pression et aux stress du quotidien quand elle pointe le bout du nez.
Il note un moment précis, lit la recherche liée, décortique chaque donnée utile.
Il teste ensuite : balle en liège, minuteur respiratoire, carnet de gratitude, objets simples, verdict approuvé.
Son credo : transformer la théorie en gestes concrets, rapidement applicables.
Textes courts, conseils pratico-pratiques, ton léger ; l’idée reste la même : montrer qu’alléger la tête peut tenir dans trois actions bien choisies.

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