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Entre la peur sourde d’être accusé d’avoir triché via l’IA, la page blanche qui s’étire et le compte à rebours impitoyable, les étudiants ressentent une angoisse grandissante. Chaque minute qui passe semble peser une tonne, tandis que le spectre de l’échec plane au-dessus de leurs têtes. Plongez au cœur de cette fièvre de fin de semestre qui transforme la rédaction en véritable course contre la montre.
L’angoisse du compte à rebours
Plus que 72 heures avant la date de remise et l’angoisse monte en flèche. Entre choix du plan, notes de bas de page et biblio interminable, de nombreux étudiants avouent se sentir submergés par la pression.
IA : alliée ou ennemie ?
Certains voient dans l’intelligence artificielle une bouffée d’oxygène pour traiter les tâches chronophages. D’autres redoutent d’être suspectés d’usage abusif et craignent des sanctions universitaires. « L’IA, si on l’utilise avec mesure, peut libérer du temps pour peaufiner sa réflexion », assure Léïa.
Les antidotes au stress
Pour tenir le coup, sport, peinture ou pauses méditatives font partie des routines salvatrices. Lou, en master de comm’, mise sur l’activité créative pour déconnecter sans décrocher.
Le syndrome de la dernière minute
Procrastination, panique et pages blanches : Clémentine doit écrire 40 pages en 48 h. Dans son studio du Crous, elle se rassure en se disant qu’elle n’est pas seule.
Université : vers la fin du mémoire écrit ?
Face à l’essor de l’IA, l’Université de Bretagne Occidentale expérimente un grand oral à la place du mémoire traditionnel. Un signe que l’évaluation académique se réinvente.
Mémoire ou grand oral, IA utilitaire ou tricherie : un choix qui façonnera la vie universitaire de demain. Une certitude : la fin de semestre n’a jamais été aussi stressante.