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Enfant angoissé avec la nounou : comment résoudre l’anxiété de l’enfant ?

Enfant angoissé avec la nounou : comment résoudre l’anxiété de l’enfant ?

Publié le August 23, 2025

Confier son enfant à une nounou peut être un véritable défi émotionnel, autant pour les parents que pour l’enfant. Si certains petits s’adaptent rapidement, d’autres expriment une anxiété marquée. Ce stress peut avoir plusieurs causes et nécessite une approche douce et progressive pour rassurer l’enfant. Voici des solutions concrètes pour instaurer un climat de confiance.

Comprendre l’anxiété de l’enfant

L’angoisse face à une nounou n’est pas rare, surtout chez les jeunes enfants. Elle s’inscrit généralement dans le développement normal de l’attachement et peut avoir diverses origines. Pour trouver une solution adaptée et une nounou de confiance, les parents peuvent se tourner vers des plateformes spécialisées comme ce site, qui facilite la rencontre entre familles et babysitters expérimentées.

La peur de la séparation

Vers 8-12 mois, les bébés développent une conscience aiguë de la séparation. C’est ce qu’on appelle l’angoisse de séparation. Ils savent désormais que leurs parents peuvent partir et ne pas revenir immédiatement. Cette étape, normale, peut être amplifiée par l’arrivée d’une nouvelle figure de garde.

Une personnalité plus sensible

Certains enfants sont naturellement plus réservés ou plus attachés à leurs habitudes. Le changement par un nouvel environnement ou une nouvelle personne par exemple peut les déstabiliser davantage que d’autres.

Expériences passées

Une expérience négative antérieure comme une nounou changeante, un accueil brusque ou un environnement stressant peut renforcer l’anxiété. Même si elle est inconsciente, l’enfant peut associer la séparation à une situation inconfortable.

Identifier les signes d’une anxiété avec la nounou

Chaque enfant exprime son mal-être à sa façon, mais plusieurs signaux reviennent fréquemment :

  • Pleurs intenses au moment du départ des parents ou lors de la journée
  • Refus d’aller chez la nounou ou résistance physique (s’agripper, se cacher)
  • Trouble du sommeil avant ou après la garde
  • Changements d’humeur (irritabilité, tristesse)
  • Perte d’appétit ou troubles digestifs liés au stress

Pensez à tenir un petit carnet d’observation partagé avec la nounou pour noter les moments où l’enfant semble apaisé ou inquiet pour identifier les déclencheurs.

Mettre en place une adaptation progressive

Une arrivée en douceur est l’idéal pour limiter l’anxiété chez l’enfant. Avant le début officiel de la garde, organisez plusieurs visites courtes en présence d’un parent. L’enfant pourra explorer les lieux et observer la nounou sans pression.

Par ailleurs, allongez progressivement le temps de garde. Par exemple, commencez par 30 minutes, puis une heure, puis une demi-journée. Cette méthode graduelle donne à l’enfant le temps de créer un lien de confiance. De même, mettre en place un rituel d’arrivée aide l’enfant à se sentir en terrain connu, même dans un nouveau lieu.

Communication ouverte avec la nounou

Un bon dialogue entre parents et nounou est primordial. Partagez vos habitudes familiales comme les heures de repas, les jeux préférés et les méthodes d’endormissement. Plus la nounou reproduira des repères connus, plus l’enfant se sentira en sécurité.

Surtout, évitez de cacher vos inquiétudes à la nounou. Si vous sentez que quelque chose ne va pas, exprimez-le calmement. Cela permet d’ajuster l’accompagnement.

Valoriser la relation enfant-nounou

Un enfant anxieux a besoin de voir que ses parents ont confiance en la personne qui s’occupe de lui. Présentez la nounou de façon positive. Parlez d’elle avec chaleur et racontez des anecdotes agréables. Montrez de la complicité avec la nounou lors des échanges.

Essayez également d’organiser des activités communes de temps en temps. Plus l’enfant voit que vous validez la présence de la nounou, plus il pourra se détendre.

Gérer les séparations avec douceur

Évitez les départs précipités. Partir sans prévenir peut créer une rupture brutale et accentuer l’angoisse. Expliquez à l’enfant que vous allez partir et surtout que vous reviendrez. Par ailleurs, rallonger le moment du départ peut transmettre votre propre anxiété.

Un bisou, quelques mots rassurants et vous partez avec confiance. Utilisez un rituel de séparation. Cela aide l’enfant à se repérer dans le temps.

Travailler la confiance et l’autonomie

Les activités qui développent l’autonomie aident l’enfant à se sentir plus au contrôle :

  • Laisser l’enfant choisir ses vêtements
  • Le faire participer à la préparation de son sac
  • Lui confier de petites missions avec la nounou (mettre la table, arroser les plantes)

Ces petites responsabilités le rendent plus acteur et moins spectateur de la situation.

Quand l’anxiété persiste

Dans la majorité des cas, l’angoisse diminue au bout de quelques jours à quelques semaines. Toutefois, si les pleurs restent intenses, si l’enfant refuse de manger ou dort mal sur une longue période, il est important de réagir.

Évaluer l’adéquation avec la nounou

Il arrive qu’un enfant et une nounou ne trouvent pas le bon rythme ensemble. Cela ne veut pas dire que l’un ou l’autre est en tort, mais parfois une personnalité ou une méthode ne correspondent pas aux besoins de l’enfant.

Consulter un professionnel

Un pédiatre, un psychologue pour enfants ou une éducatrice spécialisée peut apporter un regard extérieur et proposer des outils adaptés.

Être patient et bienveillant

Surmonter l’anxiété prend du temps. Félicitez chaque petit progrès, valorisez les moments positifs passés avec la nounou et multipliez les expériences agréables.

Si vous habitez en Île-de-France et recherchez de nouvelles opportunités, sachez qu’il existe une forte demande pour des nounous disponibles pour garder vos enfants à Melun et alentour. Cela permet à de nombreuses familles de trouver une aide fiable et bienveillante, tout en offrant aux babysitters un cadre de travail sécurisant et valorisant.

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Ayoub Zero

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Plume plutôt posée qu’angoissée, s’intéresse à la pression et aux stress du quotidien quand elle pointe le bout du nez.
Il note un moment précis, lit la recherche liée, décortique chaque donnée utile.
Il teste ensuite : balle en liège, minuteur respiratoire, carnet de gratitude, objets simples, verdict approuvé.
Son credo : transformer la théorie en gestes concrets, rapidement applicables.
Textes courts, conseils pratico-pratiques, ton léger ; l’idée reste la même : montrer qu’alléger la tête peut tenir dans trois actions bien choisies.

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