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Et si vos allergies ne venaient pas seulement du pollen ou de la pollution, mais de votre stress ? Alors que les prévisions annoncent que la moitié de la population mondiale sera allergique d’ici 2050, une nouvelle piste intrigue les spécialistes : notre état émotionnel.
Au Centre d’allergologie du Dr Nham Pham Ti, les consultations ne se résument pas à des tests classiques. Ici, on creuse plus loin : mode de vie, génétique, environnement et aussi pression mentale. Et ce n’est pas un hasard. Plusieurs études montrent aujourd’hui que le stress peut aggraver, voire déclencher certaines réactions allergiques. Une réaction du corps face à un cerveau en alerte permanente.
Dans la fameuse “cabine à souffle”, appelée pléthysmographe, les patients asthmatiques découvrent que leur souffle ne dépend pas que de leurs bronches. Le mental, lui aussi, y joue un rôle.
Pollution, climat, hygiène… Les allergènes évoluent, mais notre résistance, elle, est aussi psychologique. Peut-on apprendre à mieux respirer pour mieux vivre avec ses allergies ? C’est peut-être là que tout commence.
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